
Les choses ont beaucoup évolué au sein de cette équipe de la JS Kabylie depuis l’ouverture du mercato estival le 1er juillet dernier.Après Mahious et l’Ivoirien Jean Charles Ahoua du Simba AC (Tanzanie), la JSK est sur le point de faire signer Belaïd du club belge Saint Trond. Selon nos sources, les deux parties ont trouvé un accord pour un contrat de deux ans. Le coach Zinnbauer insiste sur la venue de Belaïd avant le départ pour la Turquie pour un stage de préparation. En revanche pour Ferhat, la situation ne s’est pas encore éclaircie puisque le joueur en question n’a pas encore répondu à l’offre de la JSK étant donné qu’il est en contacts avec d’autres clubs algérois. Les rumeurs annoncent également l’arrivée de Belhocini (CSC) qui aurait donné son accord à la JSK. Dans un autre registre, on croit savoir qu’entre Redouane Berkane et la JSK, les relations se sont récemment tendues au point de franchir une étape juridique. Le jeune attaquant de 21 ans, issu de Tazmalt, est au cœur d’un bras de fer avec son club formateur. Le 24 juillet 2025, la direction de la JSK a officiellement adressé une mise en demeure au joueur pour absence prolongée et injustifiée à la reprise des entraînements. Ce courrier, signé par le président El Hadi Ould-Ali et dont La Gazette du Fennec a obtenu copie, rappelle fermement à Berkane ses engagements contractuels. Le club le somme de réintégrer l’effectif dans les plus brefs délais sous peine de subir les conséquences prévues par le contrat en vigueur. Une réaction ferme face à une attitude jugée provocante par la direction kabyle. Le fond de l’affaire réside dans le souhait affiché par Redouane Berkane de quitter la JSK pour rejoindre le club français de Troyes. Une ambition que les dirigeants du club algérien ne partagent pas, estimant que les conditions d’un transfert ne sont ni réunies ni satisfaisantes pour la JSK. Face à ce refus, le joueur a opté pour une forme de contestation silencieuse : boycotter la reprise de l’entraînement. Une absence remarquée sur les photos officielles du club publiées sur les réseaux sociaux, où l’on note son absence systématique. Ce geste est interprété comme un affront par les responsables du club, qui n’ont pas tardé à réagir sur le plan juridique.